Scène ouverte :
Les talents amateurs s’expriment en dix minutes dans le domaine artistique de leur choix.
La Commedia Gastronomica :
Une série de scènes drôlatiques, un peu comme l’aurait fait Molière. Sur le ton de la farce, on ironise…
Funérailles d’hiver :
Dans cette pièce truculente d’Hanock Levin, deux familles se préparent à célébrer la noce de leurs enfants. Mais une tante meure la veille de la cérémonie. Pour ne pas annuler le mariage, il va falloir imaginer mille stratagèmes pour que personne ne soit au courant.
« Un mariage et un enterrement : qu’est-ce qui prime? » pourrait sans doute résumer cette pièce qui réussit à nous emporter dans un autre univers, dans lequel tout est à la fois possible : rire et s’interroger sur les questions de l’altérité et du sens de la vie. Les personnages, dont le burlesque est dessiné avec finesse, s’affrontent et se retrouvent pour répondre avec nous à ces questions.
L’augmentation :
D’après Georges Perec. Six employés d’une entreprise projettent de demander une augmentation à leur patron. D’espoirs en incertitudes, d’argumentation rationnelle en conviction personnelle, les mille et une façons d’envisager de passer à l’acte. Une comédie féroce, à l’humour grinçant.